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גֵּיהִנֹּם

L'ENFER

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TÉMOINS DE L'ENFER

      Le carnage perpétré le 7 octobre par le Hamas, qui a tué plus de 1400 Israéliens, commence peu à peu à s’estomper dans les esprits.

 

      Il représente une réalité beaucoup trop affreuse pour que lui soit laissée la possibilité d'interrompre les beaux rêves pacifistes de l'Occident d’après-guerre. Il est impossible d’admettre ou même de reconnaître que nous avons été témoins du début brutal et inqualifiable d'une guerre que nous n’avions jamais connue auparavant.

      Pour tenter de comprendre le massacre des enfants innocents, il faut probablement des facultés particulières. En premier lieu, il faut essayer de se confronter à cette réalité et de la regarder en face. Nous devons être les témoins de l’image de ces petits êtres qui criaient ‘Je veux ma Maman’ alors qu’ils étaient torturés et tués. Ensuite, il faut se demander comment cela a été rendu possible. Il faut regarder les massacres en face et écouter ce qu'ils ont à nous dire. Enfin, laissons notre angoisse de côté, et demandons-nous comment on peut y résister.

      Ce massacre n’a pas été commis par le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, malgré ses monstrueuses tentatives de lui trouver des circonstances atténuantes. Ni par des ‘manifestants’ qui dans les rues appellent à la destruction de l'État d'ISRAËL et qui profèrent d'infâmes mensonges sur le conflit israélo-palestinien.

      Mais je voudrais les obliger tous ces gens-là à rester assis dans une salle obscure, comme je l'ai fait hier, et à regarder pendant 45 minutes les images enregistrées par les monstres du Hamas pendant qu'ils massacraient les centaines de Juifs innocents : les familles surprises par une attaque barbare et qui baignent dans le sang, ainsi que les extraits de vidéos des téléphones portables des victimes qui ont été retrouvés sous les ruines des kibboutzim.

    À quoi ressemblent les terroristes sur ces images ? Ils sont joyeux et disciplinés, entassés dans des camionnettes et sur des motos pour aller perpétrer leurs massacres. Puis, ils commencent par tirer autour d’eux sur tous les conducteurs de voitures qu'ils rencontrent. Une fois entrés dans un kibboutz, ils ont une mission bien précise. Celle-ci a été révélée par une note manuscrite retrouvée sur le corps de l'un des terroristes tués et qui a été rendue publique par TSAHAL : ‘Sache que cet ennemi est un malade pour qui il n’y a pas aucune guérison si ce n’est de lui couper la tête et de lui arracher le cœur et le foie !’

      Sur ces images, on voit les meurtriers agir toujours de la même façon et démembrer en plusieurs parties leurs malheureuses victimes. Allahu Akbar est leur cri blasphématoire quand ils leur coupent les têtes, tandis que d'autres terroristes se jettent ensemble sur une pauvre fille recouverte de sang et à moitié dénudée. Ils s'encouragent l’un l’autre dans une joie perverse. Le grand nombre des corps brûlés vifs démontre clairement que leur satisfaction va de pair avec celle des meneurs qui les ont envoyés.

      Ces bourreaux ont une hiérarchie précise : ils répondent à des chefs, ils suivent leurs ordres. Ils les suivent même quand ils se déchaînent sur un groupe de petites filles entassées sous une tente pour être mutilées et tuées, violées à la fois vivantes et mortes. Les monstres agissent en groupes organisés. Ils sont envoûtés par les cris des nourrissons, par les mots ‘innocent’, ‘Maman’ ou ‘enfant’. Pour eux, ces mots ne veulent plus rien dire.

      Ils ont des instructions, comme les nazis SS en avaient. Ils se précipitent vers un père de famille qui tente de fuir avec ses deux jeunes enfants pour ne pas être atteint par leur grenade. Ils tuent le père et ils jettent les enfants dans une pièce. L'aîné caresse en silence le plus petit qui crie : ‘Papa, Papa! Il est vraiment mort ! Ce n'est pas un film! Où est Maman?’. L'autre demande : ‘Est-ce que tu vois de cet œil ?‘ Le petit dit ‘non’, et les images s'arrêtent là. Ce sont deux enfants, parmi d’autres, dont on ignore ce qu'ils sont devenus.

      Ce récit ne s'arrête pas là. Il n’est qu'une petite partie d'une stratégie organisée et dirigée qui a pour but d’anéantir et de supprimer l'ensemble des Juifs, famille par famille - une stratégie apocalyptique.


     J'ai demandé au général Micky Edelstein, qui présentait ces témoignages atroces, ce que représente cette haine et ce qu'elle signifie.

 

    Il m'a répondu : ‘Ce n’est pas de la haine. C’est un programme.’

 

      Comme CNN l'a révélé, les préparatifs du Hamas ont duré deux ans. Les terroristes ont réussi à échapper à la surveillance des agences de renseignement les plus sophistiquées de la planète grâce à une stratégie de contre-espionnage éprouvée depuis longtemps : des rencontres individuelles en personne et des lignes téléphoniques fixes installées dans les tunnels de Gaza. Ainsi que l'a révélé le Wall Street Journal, seule une petite cellule du Hamas, qui se trouvait en septembre en Iran, était au courant des plans de l’attaque prévue. Un groupe plus important de terroristes a été ensuite averti et les ordres ignobles furent alors donnés.

 

      Harold Rhode, ancien conseiller spécial du Pentagone pour le monde islamique, a expliqué que la culture arabe nomade est dictée par des lois sauvages de survie : une terre qui fut autrefois musulmane doit revenir à tout prix à l’islam. Il n’y a pas de limite aux moyens d'y parvenir, de génération en génération, a-t-il dit.

 

      Rhode a ajouté que, dans ce mode de pensée, il faut non seulement conquérir, mais aussi terroriser. Les femmes et les enfants sont de simples objets qui doivent être vidés de leur sang pour nourrir leur soif désespérée de domination. Les ennemis doivent être dévorés vivants. Tel était le plan du CHABBAT noir, et l'Iran en était le prophète.

Si vous voulez que le monde n'oublie pas,

faites connaître ce texte à vos proches et à vos amis.

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Source : Fiamma Nirenstein
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